La taverne de l'Ouest

Je poussais la porte de bois de la taverne. La salle est bondée. Des cris, des rires explosent dans la pièce. Ici on déjeune, ici on joue aux dés, là bas on termine sa sixième chope de bière. Excepté quelques poivrots encouragés par la foule à réaliser je ne sais quelles pitreries, un seul petit groupe de personnes retient vraiment mon attention.

Au fond de la pièce, quelques aventuriers qui, comme moi, ne semblent pas être du coin, discutent ensemble.

(Voyons, il y a un homme... vu son allure et ses vêtements, ce doit être un rôdeur, il ressemble quelque peu à un Gardien. Ensuite, un autre homme... un fier guerrier, ça doit être un Kergans, ces hommes du Nord. Qui les accompagnent ... ? On dirait bien des Nains, trois Nains. Tiens je ne vois pas le tas de chopes qui les entoure habituellement. Voilà une bien mauvaise troupe d'aventurier... Et là, un peu à l'écart. On dirait bien un Elfe. Voilà enfin quelqu'un de censé. Enfin, faut-il qu'il soit censé pour fréquenter ainsi une bande de Nains, des barbares et... une huamine ! Le voilà en galante compagnie.)

Je m'avance dans la grande salle, cherchant des yeux une table de libre. Je trouve une place à une table posée dans un coin de la pièce, étrangement innocupée alors que la salle est pleine.

(Tant mieux ! Je vais pouvoir me resaturer tranquillement et observer un peu cette étrange compagnie...)

Je rabat mon capuchon sur mon visage. En passant près du comptoir, je lance à l'aubergiste qui essuie ses chopes avec un chiffon crasseux :

"Holà tavernier. Sers moi donc à manger ! Et une chope de bière !"

L'aubergiste acquiesce d'un grognement en me regardant d'un air mauvais.

(Il a autant de vocabulaire que le Nain. Il n'a pas l'air d'aimer les étrangers. Avec toute cette compagnie, il doit être servi !)

Je m'assois à la table dans le fond de la pièce de manière à pouvoir garder un oeil sur le groupe d'aventuriers. L'aubergiste m'apporte une assiette qu'il claque violement sur la table, accompagnée d'un chope remplie de bière.

"C'est bien aimable à toi !"

L'assiette contient une sorte de ragoût de viandes et de légumes innidentifiables. Je mange avec appétit et boit à ma soif bien que le repas soit médiocre et que la bière ne valle pas la bière elfique. Après m'être rassasié, je sors une pipe d'ivoire d'une de mes poches, la bourre avec de l'herbe de la Forêt Noire et l'allume avec le briquet ouvragée, ultime relique de mes aventures passées. Je m'attache alors à l'observation de la compagnie qui se trouve au milieu de la pièce et plus particulièrement de l'Elfe...

Le mage Azuriel nous donna des sortes d'ordres, des directions dans lesquelles aller et je n'avais rien contre la destination qu'il m'avait donné car elle me conduisait au Nelemdras, j'allais pouvoir revoir mon cher et doux pays. Il avait demandé à un Nain appelé Gridder de m'accompagner pour mon long voyage afin de retrouver un capitaine de l'armée du Nelemdras, nommé Trenël. Je me tournai soudain vers mon furtur compagnon de route, la main toujours posée sur le pommeau de mon épée, un sourire illuminait mon visage. Cependant un doute me troublait ; qu'entendais ce Azuriel à propos de ma destinée ?

-Il semblerait que nous soyons liés par le sort ; n'est ce pas ? Je suggère pour ma part de ne partir que demain, il commence à se faire tard et une bonne nuit de repos dans un bon lit me ferai le plus grand bien avant de reprendre la route pour retourner dans mon pays.

Mordwain écoutait attentivement ce que l'elfe avait a lui dire, c'est a dire son role dans la guilde ... A vrai dire revoir son pays ne le dérengeait pas mais en tant qu'éxiler ... Ils pouraient avoir des problèmes. Le Kergan fut bien heureux que Seyoka l'accompagne, le rodeur n'a rien de très interessant a ses yeux et il ne connait pas assez le reste de la bande. Alors qu'Azuriel et la demoiselle partait parler dans l'intimitée, Mordwain donne un coup de coude a Seyoka.

"Y'en a un qui va pas dormir seul ce soir héhé."

L'homme se lève de toute sa hauteur, dépassant d'une bonne tête le rodeur puis sors sa hache avant de l'examinée ... Puis se retourne vers Seyoka.

"Il me faut une nouvelle hache, je pense que comme le rodeur dit (il désigne Amùndil d'un coup de tête) nous devrions partir demain."

Sur ces mots, Mordwain fait rapidement tourner sa hache avant de la rangée dans son dos. Le guerrier se retourne vers la salle ou il voit l'elfe et l'humaine discuté. En repensant au discours de cloture de la reunion Mordwain eu un sourire mauvais.

"Patriarche ... pff"

L'elfe n'avait pas l'air de ce rendre compte qu'un Kergan ne fait preuve de respect qu'a des personnes qui prouvent qu'ils en sont digne et pour l'instant ... le mage est un parfait inconnu et n'entre pas dans cette catégorie. Pour Mordwain ce mage n'est pas un compagnon mais plutot un employeur ... Sans plus tarder, Mordwain ce retourne vers le deuxieme groupe d'aventurier.

"Bon ... Je pense que nous nous reverrons demain a l'aube ... Pourquoi ne pas faire un peu de chemin ensemble jusqu'a Nelemdras ? Il me semble que nous ne serons pas de trop en cas de coup dur, Seyoka et moi ..."

Le guerrier sors de la salle, jettant un oeil vers la table ou ses deux "compagnons" se trouvent.

*Ton plan ... Une aubaine pour réaliser le mien ...*

Esquissant un sourire, le guerrier monte se coucher ...

L'elf à capuche du nom d'Azuriel dont les pouvoirs nous étés bien inconnu pour l'instant et dont la sagesse n' arrivait pas à la cheville des vieux sages nains avait distribué les rôles de chaqu'un . Bien heureusement je ne tombais pas avec ce juvénile rôdeur et je ne devais pas visiter une contrée elfique . Je devais partir vers les contrée nordique , terres natale de Mordwain . Ces guerriers ne sont pas si diffèrent des nains , comme j'ai pu le voir , ils combattent avec force , bravoure et honneur .

Tandis que celui qui s'était lui même nommé comme patriarche profitait de la première occasion venu pour s'en aller séduire la seul femme de la table .

( Quelle Sagesse ... Un patriarche ne se contente pas des beaux discours .. )

" Mué , comme si on avait pas d'autre priorité ..."

Le barbare se leva et tout en faisant tournoyer sa hache il m' expliqua qu'il lui fallait passer au forgeron pour quérir une nouvelle arme . Tandis que je regardais ma bourse bien remplie et le cuir qui recouvrait mon torse .

" Très bien ; nous partirons demain . Pour ma part , il me faudrait quelque chose de plus adapté que ce cuir pour un si long voyage . "

Je regardais Mordwain partir tandis que je sortais de la taverne en direction de la forge , en saluant le tavernier et mes confrères nains toujours plongés dans leurs chopes .

Voilà quelques heures déjà que la nuit était tombé. La taverne se vide peu à peu de ses clients. Déjà quelques uns des aventuriers quittent la pièce : le Kergan monte à l'étage, se séparant de son compagnon Nain qui sort dans la rue.

Je pense à aller moi même me reposer quelques peu à l'étage, mais je n'ai guère sommeil. Je n'ai fait que dormir ces deux derniers jours après que je me sois évanoui devant la porte. Je suis maintenant en pleine forme et l'envie de repartir à l'aventure renait en moi. Mais pour le moment, je décide de rester à ma place et de continuer à observer les quelques aventuriers restant...

(Je me demande bien à quelle aventure se préparent-ils....)

Au moins, elle avait à présent la certitude que cet Azuriel lui donnerait belle et bien une mission, et qu’il ne resterait pas là à tenter de lui soutirer des informations personnelles sans ne lui proposer autre chose que des questions désobligeantes. Certes, mentir n’était guère ardu, mais l’archère trouva ce genre de discussion rapidement lassante, aussi charmant soit son interlocuteur. Pas que la vue du mage bleu était désagréable, loin de là, mais il n’était guère dans les habitudes de Kaïnda de séduire, du moins volontairement, ses embaucheurs, ce qu’Azuriel était simplement pour le moment, malgré son apparence attrayante et ses belles paroles. Elle n’avait d’ailleurs aucun remord à mentir à une si plaisante personne ; elle ne serait pas mercenaire, si tel avait été le cas. Dans ce genre de métier, peu importait le physique des clients ou des victimes, seul le gain était important. Triste à dire, il est vrai, mais l’Ashla avait vécut ainsi pendant des années, et avait fini par ne voir guère plus de différence entre les êtres vivants, que ce soit entre un gueux et un gentilhomme. Cela n’était pas si mauvais en soi, mais ainsi, elle n’accordait pas plus de valeur entre un criminel et un homme qui en valait la peine ; elle en avait perdu l’habitude.

L’elfe lui demandait à présent ses réelles intentions pour s’être engagée dans sa guilde. Bien sûr, elle n’en donnerait les vraies raisons, cela risquant grandement d’attirer les soupçons. L’archère ne décida de n’être guère originale pour le but de sa venue ici ; après tout, la simplicité passait bien plus facilement, et cela était plus plausible, étant donné que l’on risquait rarement de changer quelques détails ci et là, et ainsi laisser deviner l’invention d’une histoire complexe. Et puis, en se rattachant aux autres par le même projet, cela pouvait la rendre plus attachante.

Son esprit étant vif, sa réponse ne mit guère de temps à traverser sa bouche, et pour plus de vraisemblance, elle baissa un instant les yeux.

« La vengeance, Patriarche. N’est-ce pas tout ce qui nous amène ici ? J’ai été victime de la guerre, comme la totalité des habitants d’Ardanë. L’horreur de cette misère a éclaboussé mes yeux d’enfants et tâché mon innocence ; j’ai vu la mort et la souffrance torturées mes proches, mon peuple ravagé sous cette monstruosité et le monde se déchirer sous les atrocités que la guerre a engendré. »

Bien sûr, la majorité de ces paroles n’étaient que mensonge et issues de sa séduisante loquacité. Oui, c’était en effet la vengeance qui l’incitait à poursuivre sa destinée, mais la guerre n’était nullement coupable de cette dernière. Comme l’ayant déjà souligné, le conflit d’Ardanë n’intéressait en rien l’archère, et si elle avait déjà combattu auprès des soldats pour abattre quelques démons, cela n’était aucunement personnel. Certes, cela causait d’innombrables pertes, certaines innocentes, mais cela ne touchait pas directement Kaïnda, n’ayant plus aucun proche depuis fort longtemps ; pourquoi s’en soucierait-elle alors ? Pour l’instant, la plus importante personne à ses yeux était elle-même.

Ainsi donc, j'allai faire mon devoir accompagné de cet humain... Bien, s'il le fallait vraiment...

"Bien nous partirons demain."

Sur ces mots, je partis de la taverne.

La jeune femme me ravissait de seconde en seconde, mais je ne pouvais céder à si belle tentation. Mon pauvre petit ange.. Marie.. Ma mission allait apporter des réponses à l'énigme de mon imagination : Marie avait existé, j'en étais convaincu. Et je devais aller vérifier cela. La discussion avec Kainda semblait toucher à son terme : elle m'avoua ce que j'avais besoin d'entendre, même si ce n'était pas forcément vrai, c'était un prétexte largement suffisant. Je passa mes doigts sur mes lèvres, en signe de réflexion profonde, avant de lui rétorquer d'une voix très claire :

" C'est une cause si juste et si noble, que la veangance. Tous vous diront que c'est plat qui se mange froid, j'ajouterai qu'il se déguste à temps. "

Je remarquai qu'elle avait des attitudes très décontractées. Cela me plaisait beaucoup. J'allais donc lui énoncer la mission que je lui avais réserver, de façon totalement improvisée certes, mais à y réflechir, j'éprouvais des remords à lui confier une tâche si périlleuse.

" Les Archers sont connus pour leur talent d'éclaireurs. Votre mission ne sera pas des plus faciles : je veux que vous nous renseigner sur les mouvements de troupes ennemis, dans les territoires neutres du Nord. (( exploration )) Il faudra faire attention : approcher de suffisament près l'ennemi, dans ses campements, pour juger sa force. Je vous en prie : faites attention à vous, si vous acceptez.

Sur ce, je dois vous laisser. Comme je l'ai dit, une mission qui me tient à coeur m'attend. Je vous souhaite beaucoup de courage et de chance, à bientot Dame.

J'esquissais un sourire, accompagné d'un tendre regard, à l'adresse de mon interlocutrice. Je ne m'attardais pas sur nos aurevoirs : en me levant je fis glisser ma main sur sa lienne, et prenant mon bâton sortit de la taverne, adressant d'un signe de tête un adieu amical au gérant.

Mon récit s'arrête là. Ce que j'ai découvert ensuite sera raconté plus tard, mais il n'est pas interessant de le retranscrire ici. J'allais donc revenir, deux semaines plus tard...

Mordwain n'avait pas dormit de sa courte nuit, il était rester là, a regarder le plafond, a peaufiner son plan et lorsque le jour se lève, il sais ce qu'il lui reste a faire ... Malgré tout le guerrier reste un peu dans son lit, profitant des premiers rayons de soleils passant entre les rideaux de sa fenêtre.

* Aller debout, un long voyage t’attend …*

Une fois lever, laver, habiller, le guerrier descend les marches menant a la grande salle du rez-de-chaussée de la taverne. La salle c’est considérablement vidée et il ne reste que quelques personnes déjeunant, ainsi que la demoiselle qui n’a pas l’air de laisser Azuriel insensible… Mordwain n’a pas apprécier qu’elle est un traitement de faveur et qu’elle reçoive sa mission a l’écart … A quoi cela a servit ? Serions nous jaloux de cette mission secrète ? Après tout il s’en moque bien … Une serveuse le sort de ses rêveries, lui demandant se qu’il désire manger ce matin. Une fois la commande passée elle se dirige vers les cuisine, son plateau plaqué contre elle.

*~*

Mordwain s’installe a une table près de la demoiselle qui fait partit de la guilde … Il s’aperçoit d’ailleurs que personne ne connaît son nom … sauf l’elfe bien sur. Sa commande arrive après quelques minutes et il commence a manger, lentement, réfléchissant au chemin que lui et Seyoka devrons prendre pour aller au plus vite …

« Nelemdras, Unfallas … Le bois de Syrine, Therleri … hum j’en connaît un qui va être heureux ! » dit il en murmurant, la fourchette posé sur les lèvres.

Il finit son verre d’eau d’une traite, s’essuie la bouche et se lève une fois son repas finit pour se retourner vers la jeune femme.

« Puisque désormais nous somme lié par cet Azuriel, un nom ou un surnom aurait été le bienvenu mais apparemment nous serons forcé de vous appelé « l’archère » jusqu'à ce que vous veuillez délier votre langue … Je ne sais pas ce que Azuriel avait de si spéciale a vous dire … surement une mission spéciale a vous confiez mais en tout cas je vous souhaite de nous revenir vivante … »

Le guerrier la regarde encore quelques secondes et s’en va, allant dire adieu au taulier et réglé sa note de chambre ainsi que son repas …

Après que notre tout récent groupe se mit d'accord pour ne partir que le lendemain matin, je montai me coucher dans la chambre que le tavernier m'avait trouvé assez précipitament. Mais quand j'arrivai dans la pièce, je fus surpris de voir qu'il ne mentait pas quand il disait qu'il s'agissait d'une de ses plus confortables chambre, il y avait un large lit couvert de draps blancs et d'une épaisse couverture verte foncée tirant plus sur le noir, une chaise à bascule près de l'unique fenêtre qui se trouvait à la droite du lit, ainsi qu'une large armoire, un bon feu brûlait déjà dans la cheminée. Même si la fatigue me gagnait peu à peu, je désirai me délasser et après avoir prit ma longue pipe en bois d'if et mon herbe à fumer, je m'asseyai lourdement sur la chaise qui commença son mouvement d'avant en arrière répétitif et agréable. Je tirai de longues bouffées qui stagnait un long moment dans ma bouche avant d'en sortir en de grosses nappes de fumées qui avaient la douce odeur de mon pays, car mon herbe provenait du Nelemdras, une herbe à fumer pure et légère qui n'embrumait pas l'esprit, je me mis alors à réfléchir aux dernière paroles d'Azuriel ; que voulait-il dire par "grande destinée" ? Le vieil Homme que j'avais rencontré ce jour là m'avait dit une chose semblable à propos de mon regard, et je ne comprenais pas bien se qui se tramait. Bercé par le basculement de la chaise, la chaleur de l'âtre et les bienfaits de l'herbe qui se trouvait dans ma pipe, je sombrais peu à peu dans les brumes réconfortante du sommeil.

Je me mis à rêver, je me trouvais dans un brouillard surnaturellement épais qui virevoltait comme poussé par un vent que je ne pouvais sentir, je me rapprochai prudemment de cette "parois" et l'effleurai du bout des doigts. Le contact fut glacé, et le froid m'engourdit la main pendant un petit moment avant de disparaître aussi vite qu'il était venu, puis le mouvement lent et monotone de la brume s'accéléra, tourbillant autour de moi pour enfin disparaître, laissant à ma vue une immense bataille qui faisait rage dans une grande plaine verte, le ciel était couvert de nuages sombres et menaçants et les cris et le fracas des armes résonnaient dans les collines environnantes. Je reconnus autour de moi les bannières du Nelemdras, mais il y avait aussi celle de l'Isennöe et de l'Hamir-Khan, de Valinë, de Karak-Dür et de Mirkir-Dür. Je portai la main à mon épée et je m'aperçus qu'il ne s'agissait plus de la même, je n'étais d'ailleurs pas vêtu de la même manière, je portais une tunique de mailles étincelantes renforcées par des épaulettes de plates, mes mains étaient gantées de cuir épais et des brassards portant l'emblème du Nelemdras ornaient mes bras, mes cheveux étaient attachés par un bandeau doré. Brusquement, un énorme Orque bondit de la mêlée, brandissant une large hache à la lame maculée de sang ébréchée en de nombreux endroits, et par reflexe je tirai mon arme du fourreau dans un incroyable et puissant éclat flamboyant qui illumina tout le champ de bataille, mon assaillant tressaillit devant la puissance de mon épée semblable à un tison ardent, et je bondis sur lui en hurlant, serrant la poignée, je la levai bien haut dans le ciel devant le regard appeuré de la créature et je l'abattis sur son crâne qui se fendit en deux dans un ignoble jet de sang bouillonnant et noir. Porté par ma rage et ma force, je m'élançai dans la bataille, fendant l'air de ma longue et large épée ardente, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de traces de l'ennemi que les milliers de cadavres sanguinolants et crispés dans les derniers restent de haine. Alors tous les Hommes, Elfes et Nains levèrent leurs armes en l'air en poussant de forts cris de joies et de triomphe.

-Victoire ! A nous la victoire ! Furion le terrible est défait ! Courrez et chantez braves gens, la victoire est là, elle frappe à votre porte en vous annonçant que vos enfants sone sauvés de la morts et des ténèbres !

Des chansons commencèrent à sortir des rangs, le plaisir de la langue et du chant surpassant celui des armes. Les soldats des peuples libres exprimèrent ainsi leur joie en chantant et dansant comme des enfants lors d'une grande fête, entassant les carcasses de nos ennemis et en y boutant le feu. Ce fut à ce moment que je m'extirpai des méandres de la nuit et du sommeil.

Les rayons du soleil caressaient mon visage et je fus ébloui quand j'ouvris lentement les yeux, les rues de Fayaltème grouillaient des habituelles passants, la journée devait déjà être fort avancée et je devais me hâter car je devais me rendre à la forge du Nain Glognus afin qu'il me fournisse un peu de matériel supplémentaire pour mon long voyage.

Petit Posteur Nombre de messages : 14 Age : 35 Date d'inscription : 09/07/2006

Je poussais enfin la porte de l'auberge, celle ci me paru très lourde et émit un grincement qui alerta les personnes déjà présente dans la taverne.
J’avais la gorge sèche et le seul remède efficace qui pourrait me réhydrater serait un simple verre d’eau.
Je m’assis à la table la plus proche et appela l’aubergiste:

« apportez moi un verre d’eau s’il vous plait! »

Cela le fit ricaner, car la plupart des clients ici présent sont des nains célèbre pour leur consommations en alcool.
Le tavernier m’apporta mon verre d’eau et me glissa ces simples mots:

« vous êtes un guerrier n’Est-ce pas? Hem .. Allez à la Forge de Glognus vous trouverez du bon matériel de combat »

« mais comment savez-vous que…»

mais c’était trop tard l’aubergiste était déjà retourné à son comptoir nettoyer ses chope de bières.
Je suivi son conseil et je me faufila entre les tables en direction de la sortie.
N’arrêtant pas de penser à ce qu’il a dit je poussa une fois de plus la porte de la taverne mais cette fois pour en sortir.

La nuit a délaissé la Cité de son voile de mystère, percé par les premiers rayons du soleil de l'aube.

(Comme le temps passe-vite ! Une journée est si courte pour un Elfe. Et elle représente tant pour un homme. Quel misère pour ces humains de vivre si peu longtemps sur cette Terre. Mais ils le méritent !)

Tous les aventuriers de la veille avaient quittés la Taverne, le dernier étant le rôdeur qui avait pris une chambre pour la nuit. Je décide de faire de même et de quitter ma place à la petite table au fond de la pièce. Je traverse la salle et passe devant le comptoir derrière laquelle se trouve l'aimable tavernier.

"Au revoir, tavernier. Je recommanderais ton établissement... mais sûrement pas pour la nourriture qui y est servi..."

A peine a t-il le temps de devenir rouge de colère et de me lancer un regard noir que je pousse la porte de bois et retrouve l'agitation matinale des ruelles de Fayaltème....

Inlingaliel rentradans la taverne ou la chaleur ambiante commançait deja a la rechauffer elle vit que de nombreuses personnes d'une multitude de race était assise seule ou en groupe.Je me dirigeait vers le contoir et mon epuisement devait se lire sur mon visage!L'incantation qui m'avait amenée ici et cette journée sous une pluie battante m'avait enormement fatiguée et plus particulièrement une fatigue mentale car tout cela était un peu dur a assimiler.Ele s'adressa au tavernier :

"Pourais je avoir un verre d'eau et un plat du jour messire?"

En attendant sa commande elle alla s'assoir a une table inoccupée.Et regarda la foule qui remplissait la taverne en esperant en aprendre plus sur une rumeur qu'elle avait entendue en parcourant les ruelles de la ville.Elle avait crue comprendre qu'il s'agissait d'orc amassait a la frontière de la ville et qu'une attaque se prèparait.Le tavernier lui amena sa commande et elle put mangée et boire tout en attendant d'entendre quelque chose!Ses echos d'une bataille prochaine lui avait donnée envie de combattre mais pour cela il lui faudrait son equipement soit elle devait trouvait un moyen de retourner chez elle pour revenir aussitot ici,

( trop compliqué...)

soit elle devrait racheter de l'equipement et pour cela trouvait un moyen de gagner de l'argent!

(Olalalala que de problème la prochaine fois que je tente une experience je prendrait encore plus de précaution!!)

Tout en mangeant elle continuer d'esperer entendre quelques choses!Puis lorsqu'elle eu terminer son repas elle s'adressa au tavernier:

"Messire vous reste-t-il une chambre pour cette nuit?connaissait vous une boutique de magie proche?Et peut etre pourrais vous me dire si vous avez entendue quelque choses de plus que moi sur la rumeur d'une armée qui stationnerais dans les plaines alentours?"

Lorsqu'elle eu finit de parler elle se rendit compte qu'elle assomait un peu le brave homme de question et que ses questions était tout de même un peu brutale et sans introduction;mais elle était trop fatigué pour se reprendre maintenant.

Je pénétrais dans la taverne, d'où plusieurs personnes me reconaissant, vinrent me saluer chaleureusement. A n'en pas douter, ma petite prestation d'il y a quelques semaines avait marqué certaines esprits. Heureusement pour moi, la grande majorité des clients ne fit cependant pas attention à mon entrée dans l'hospice. Je saluai le tavernier, énonçant à haute voix ma requête :

" Paix et Salutations l'Ami, ce sera comme d'habitude. "

J'allai m'assoir tranquillement au milieu de la salle, attendant qu'une jeune humaine m'apporte de l'hydromel. Je le bus à petite gorgées, n'ayant pas franchement soif. Je réfléchissais à ma façon de recontacter les combattants... Et je réfléchissais aussi au devenir de la jeune Ashla avec qui j'avais eu l'immense loisir de discuter. Je m'inquiétais pour elle, et je m'imaginais ce qu'elle avait pu devenir. Recommandant une deuxieme coupe, je décidai de rester ici un petit moment, pour me reposer. La plupart des gens était encore très touché par la bataille, et si les combattants n'étaient pas loin, ils passeraient tôt ou tard par la taverne. Je disais toujours : le hasard fait si souvent bien les choses..

Inlingaliel >>

Le tavernier, trop occupé, n'entend pas tes questions posées après la fin de ton repas. Mais un Elfe, plutot sombre, proche de toi, te répond d'une voix ténèbreuse sans égale :

" Sachez chère Amie que la bataille décime nos rangs.. Vous trouverez une boutique de magie dans la ville, quartier nord, en ce qui concerne les batailles, vous en avez tous les jours maintenant, presque... "

(( je te conseille de raconter la bataille au passé si tu y tiens, dans le role play, tu pourras y avoir participer ou assister. Le role play se fera dans les ruelles bien entendu. Sinon, à l'heure actuelle, les troupes ennemies ont été repoussées. Voir RP de Amùndil ))

Je remerciait d'un hochement de tête l'elfe inconnu qui me terrifiait quelque peu;sans oser demander des précisions sur l'état des defenses de la ville puis je reglais ma note auprès du tavernier annulant la demande de chambre qu'il ne semblait de toute façon pas avoir entendue!Elle se dirigea ensuite vers la sortie pour se rendre a la boutique qui elle en pris soudain conscience serait peut etre fermée mais elle se sentit soudain etrangement mal a l'aise dans cette auberge inconnue et le mal du pays la prit!

Comme aucun combattant ne reparassait, je finis par perdre patience. Je sais depuis toujours ( ou presque ) que le temps est exceptionellement important, pour quiconque, et que s'il se perd, il ne se regagne pas non plus. Tout commençait à rentrer dans l'ordre : j'en déduisais que la ville avait essuyé l'attaque de Furion et que les différents commerces reprenaient vie.

Je me levai de ma place, allait payer le tavernier et sortit dans les ruelles, sans encore très bien savoir ce à quoi j'allais m'occuper. Je remis mon capuchon, releva mon foulard jusqu'au nez et marchait silencieusement, le regard perdu vers le sol. Je tenais mon bâton bien solidement accroché contre moi.

Alors que je me tenais à quelques distances de la porte de la taverne, je vis Azuriel y pénétrer, mais quand je m'élançais pour aller l'y retrouver, il sortit et prit la direction du cimetierre de la cité de Fayaltème. Je décidai alors de le suivre pour en savoir un peu plus sur les motivations qui le poussaient là-bas.

Joueur Nombre de messages : 41 Age : 35 Date d'inscription : 04/07/2006

Eldorya profite de la sortie d'un homme à la démarche chaloupée pour se glisser à l'intérieur de la taverne. Voila maintenant un bon moment qu'elle tentait désespérèment de pousser par elle-même l'épaisse porte de bois de l'établissement mais n'était parvenu qu'à se fatiguer sans résultat. C'est donc avec un profond soulagement qu'elle avait vue les portes s'ouvrirent devant elle, laissant passer l'ivrogne qui venait maintenant de tomber endormi au beau milieu de la rue.

A l'intérieur de l'établissement, il semblait que la vie tentait désespérèment de reprendre son cours normal après les événèments tragiques qui venait de s'achever. Des hommes, des elfes mais également des nains, séparés évidément, buvait et chanter quelques chansons de guerres, de victoires. Chacun essayait de noyer son chagrin et son désespoir dans d'alcool, oubliant tout souvenirs mauvais, chassant les plus tristes épisodes de leurs vies durant le temps du moins où ils tenaient encore éveillés. * Et bien on ne s'ennuit pas ici * , pensa la jeune fée qui s'avançait à présent entre les bougres les plus agités, évitant de toucher le plus possibles certains dont la propreté et l'hygiène laissaient à désirer. Eldorya se posa sur le comptoir du tavernier qui suait à grosses gouttes sous le coût de l'effort, et lui lança une fois que celui-ci eu terminé de se frotter les yeux en la voyant :

" Rassurez vous vous n'êtes pas victime d'hallucinations. Euh ... pourrais-je avoir une chambre pour cette nuit s'il vous plaît. " Elle vit l'homme réfléchir mais continua : " Ne vous inquietez pas, un grand lit m'ira parfaitement. "

Le tavernier sourit alors à la créature enchantée puis sans rien dire lui fit signe de la suivre dans un escalier. Il monta les marches si rapidement que la fée dut accélerer pour parvenir à le suivre. Assurément, il avait du monter ses escaliers des centaines de fois car ses clients chaque soir aussi nombreux ne devaient lui permettre de prendre son temps : il devait pouvoir répondre aux demandes dans les plus brefs délais et donc évitait toute perde de temps : il en allait de son argent !

Eldorya atterit ainsi dans une belle chambre avec tout ce qu'il y a de plus banale : un lit, un chevet et une table en bois portant des traces de lame sur l'un de ses pieds. La porte se referma derrière elle et plonga la féedans un silence bienfaiteur, apaisant. Alors, elle alla se poser sur le lit et put s'endormir sans peine, blottie dans un coin de couverture rabattue, plongeant doucement dans le monde des rêves ...

((fiou c'est dur de poster après un tel poste lol))

Mordwain pousse la porte de la taverne, tout de suite agresser par le bruit des ivrognes et des fêtards. Quelques regards inquiets se tournent vers lui lorsqu'il marche vers le comptoir, fesant claquer ses bottes sur le parquet, accentuant l'angoisse déja provoquer par son acoutrement. Une fois au comptoir, il ne peine pas a trouver une place puisque les ivrognes préfèrent aller boire ailleur qu'avec un homme "louche". Le tavernier, qui ne servirais pas mieu un paladin qu'un chevalier noir pour des raison financières, s'approche et demande la commande avec un grand sourire, comme a son habitude. C'est a ce moment la que Mordwain décide de retirer son passe montagne et sa capuche, rassurant la salle dont certains le reconnaissent.

"C'est l'homme du port ... Pourquoi cet acoutrement si sombre ? ... Se serait il rallier au seigneur noir ?"

Sans faire attention au commerage qui vont bon train désormais, le guerrier préfère se commander une bière ... d'un litre en pensant qu'il le merite bien après tout. Il se commande aussi un bon repas chaud comme il n'en avait pas eu depuis longtemps: la nouriture lui semble divine, étant habituer a la nouriture orc ... Sans prononcer un mot, l'homme continu son repas.

Lorsque j'entrais dans la taverne, il y avait pas mal d'animations et de murmures. Il n'y était pas rare de voir entrer des types dans un état lamentable, ainsi le sang qui dégoulinait sous mon manteau et laissait une trace de sang derrière ma robe ne choquai personne, sauf, peut être, les inhabitués et les âmes sensibles de ce début de journée. J'allais au comptoir, sans vraiment faire attention à qui se trouvait autour de moi. Le capuchon sur la tête et le passe montagne juste en dessous des yeux me couvrait pas mal la vue. Je répondis à la commande du tavernier d'une voix légère et sans timbre :

" Un repas tant qu'il est bon... et surtout, une coupe elfique. "

Je me décidai à rabattre mon capuchon et à regarder autour de moi, en attendant que ma commande soit servie. Mes longs cheveux gris était retenus par mon écharpe, et je gardais le bas du visage couvert. Je le rabattis d'un coup en voyant l'allure de l'homme assis à côté de moi, revêtu d'un uniforme sombre. Il mangeait. Je fis scintiller contre moi mon bâton, dans sa direction. Je ne pouvais voir son visage, il ne pouvait voir que je le visais. Il avait cependant l'air expérimenté, à en croire la hache qu'il tenait près de lui. Je l'appelais d'un chuchotement.

" Traître ! je te tuerai bien ici * chuchote encore plus bas * mais je ne veux pas faire de scandale. N'as-tu pas honte de venir ici ? "

Pourtant, son allure me rappelait terriblement quelqu'un. Mais qui ?

Le guerrier terminait son repas, tranquillement lorsqu'il sentit que l'on s'asseillait a coter de lui ... Son voisin commande un repas et une coupe elfique d'une voix qui lui est étrangement familière ...

*Azuriel ?*

Le guerrier prend sa dernière bouchée et pose sa fourchette lorsqu'il voit le baton de son voisin briller dans le coin de son champ de vision. Ce dernier le menace en gardant la voix basse mais distincte. Mordwain sourit, prenant sa chope de bière et buvant une grande gorgée de ce doux liquide avant d'attraper sa hache d'une autre main. Il passe la main sur dans ses cheveux et se tourne vers Azuriel.

"Moi aussi je suis content de te voir." dit il esquissant un leger sourire moqueur

Comme j'avais pu être bête de ne pas reconnaître Mordwain ! Il faut reconnaitre que le voir lui, accoutré de cette manière, cela m'a fait un choc. Je ne m'attendais surement pas à voir un si fier défenseur de son pays habillé dans un uniforme qui faisait surtout penser à un officier sombre. J'interrompai mon incantation et mon visage s'illumina. En même temps, l'aubergiste m'apportai une lettre. Je la posai sur le comptoir sans la lire, et je bus à grande gorgée mon vin, avant de répondre, en forme :

" Mordwain ? A en voir tes habits, tu as beaucoup de chose à me raconter. Permets moi de manger, j'ai besoin de forces. "

Mordwain regarde la baton du Patriarche "s'eteindre", voyant désormais qu'il était viser. Le guerrier comprend parfaitement que son déguisement puisse tromper l'elfe mais il se sent bien dedans alors pourquoi se priver ... L'aubergiste lui apporte une lettre: celle qu'il a lui même écrit il y a quelques semaines de cela. Azuriel lui demande de le laisser reprendre des force: apparement il sort d'un combat éprouvant vu ses blessures.

"Fait donc, je ne suis pas presser ... J'ai attendu deux mois avant de revenir ce n'est pas 5 minutes qui vont me tuer ! Bien que je sois déja mort ..."

Il regarde son ami qui ne comprend pas les derniers mot qu'il vien de prononcer, étant effectivement de l'orc ... Il se contente de sourire et lui fait signe de manger.

"Je pense que tu devrais lire la lettre avant que je te raconte mon périple ... A et oui au faite, je parle courament l'orc ..." dit il en éclatant de rire, voyant la tête surprise de l'elfe lorsqu'il lui annonce la nouvelle langue qu'il sait parler.

Je suis surpris de l'entendre parler orc. Passé mon attitude ébahi, je ris quelques secondes, à croire qu'il se serait infiltré dans un camp d'orc. Je commence à manger le plat et mon estomac plein, je sens déjà mes forces qui me gagnent. J'ouvre la lettre, et regardant Mordwain d'un air interrogateur, j'entreprend de la lire. J'emprunte une voix très basse, pour que seuls nous deux puissions nous entendre :

" Azuriel.

Je t'envois cette lettre pour t'annoncer que j'annule, temporairement ma propre mission pour en commencer une nouvelle. Il faut que je te raconte toute l'histoire pour comprendre ce changement de programme ...

En attendant Seyoka aux portes, pour partir vers Isennoë, un voleur passa devant moi, suivit par une foule en colère. Je prit donc sur moi et poursuivit l'homme qui tua, par magie tous ses poursuivant ... Je suis le seul rescapé. Je poursuivit donc cet homme jusqu'à la nuit pour l’attaquer pendant son sommeil … Mais je fut découvert et au bout d’une longue discution j’apprend que cet homme est un clone de Furion ! Il n’y en a même plusieurs … Falarion (c’est son prénom) Me capture donc et m’oblige a le suivre jusqu’en Nelemdras (nous y arriverons d’ici peu …) En route, j’ai reussi a faire basculer Falarion de notre coté … En effet Falarion est le clone de Furion a son image mais lorsqu’ils était jeune, donc moins corrompu. C’est un combattant d’exeption et un homme de confiance … Je suis d’ailleurs devenu son bras droit dans une mission que je te révèlerais dans une lettre prochaine.

Je tenais juste a te dire, a travers cette lettre, que nous avons un espion dans le camp de Furion … Fait moi savoir au plus vite ce que tu pense de tout cela et de tes projet futur.

Cordialement, Mordwain."

Je marque une pause, et finis ma coupe de vin en restant quelques instants les yeux sur ces mots. Puis, je viens plonger mon regard bleu pâle dans le sien. Je reprend la parole :

" Et ben.. j'ai été retenu sous les sols du cimetière, voilà pourquoi je suis blessé et que je n'ai pu recevoir cette missive plus tot. Dis moi... tu parles d'une mission, de quoi s'agit-il ?

Je suis en tout cas ravi si nous avons un espion en lignes ennemis. Cela nous permettra de connaître leurs déplacements, entre autres. "

» La Taverne
» La Taverne d'Elendras
» La Taverne de Martin
» La Taverne d'Irgrim
» La taverne des Trois Cactus